TEEMEO s’attaque aujourd’hui de front à un des plus grands fléaux de la productivité : l’absence de siestes au travail !

L’été est là, les beaux jours arrivent. La sieste devient de plus en plus tentante, mais le regard de votre patron, couplé avec sa montre, vous font plus que douter. Avec la crise, difficile de freiner ou de chercher à « travailler moins »…

TEEMEO tord le coup aux préconçus, et fera de vous les avocats de la sieste au travail !

La sieste au travail a un effet régénérateur
D’après une étude menée par Pierre Philip (CHU de Bordeaux) chez les chauffeurs routiers, une sieste couplée à un café diviserait par trois les risques d’erreurs de conduite.

Il est désormais scientifiquement prouvé qu’une trentaine de minutes de sieste l’après-midi aux alentours de 16h augmente la performance de ses praticiens. En France, ils sont 19% à faire une sieste sur leur lieu de travail, à l’instar de personnalités comme Jacques Chirac. C’est d’autant plus vrai que beaucoup de Français ne dorment pas suffisamment : 79% des Français dorment moins de six heures.

Ralentir pour avoir un meilleur impact: le slow management
D’après Monster en 2013, 4 salariés sur 5 sont insomniaques à cause de leur travail. Parmi les causes clairement identifiées, on retrouve notamment la pression immédiate et à court-terme, amplifiée par l’usage accru des smartphones.
Nous gagnons certes en temps mais nous sommes sur-mobilisés.

La démarche du slow management, c’est justement retrouver des limites adéquates et aménager ses moments pour tirer le meilleur parti de sa journée sans mettre en danger son efficacité sur le moyen terme. En réduisant ce stress et les risques psychosociaux – qui ont eux un sérieux et négatif impact sur la performance – la performance reste durable.

Une petite sieste au travail d’une trentaine de minutes vous rendra non seulement plus efficace mais également durablement performant pour l’entreprise, en plus d’être bénéfique pour votre santé.